Col du Galibier (Valloire)
Un nouveau profil de col en cette fin d'après-midi d'été maussade dans la Marne...
Le col du Galibier est certainement un des plus connus en France et également l'un des plus mythique. Le versant comprenant le col du Télégraphe en guise de "strapontin" pour reprendre l'expression de Jean-Paul Olivier est certainement le plus difficile, celui emprunté par le parcours de la marmotte également.
Le col du Galibier est certainement un des plus connus en France et également l'un des plus mythique. Le versant comprenant le col du Télégraphe en guise de "strapontin" pour reprendre l'expression de Jean-Paul Olivier est certainement le plus difficile, celui emprunté par le parcours de la marmotte également.
L'ascension débute à la sortie de Valloire par des premières rampes très sévères. La sensation alors éprouvée est très desagréable à l'issu des quelques kilomètres de descente suivant le sommet du Télégraphe. S'en suit une portion plus plane qui permet de retrouver un nouveau souffle et trouver son rythme en vue des 15km restant d'ascension.
La pente s'accroit s'accroit alors au fil des kilomètres jusqu'aux 7/8% peu avant Plan Lachat. A cet endroit la pente redescend brusquement quelques hectomètres, c'est le dernier moment de réel répit avant le sommet qui se trouve encore à près de 10km. Ces quelques mètres offrent également une superbe perspective sur la pente qui s'annonce et voir le serpent des minuscules cyclistes dans la montagne et vraiment magnifique.
Le secteur de plan Lachat oscille donc entre 8 et 10% et alors que nous avions eu droit jusqu'à présent qu'à de longues lignes droites, les lacets s'enchainent (difficilement) à présent.
S'en suit alors de nouveau un parcours assez linéaire dans la montagne jusqu'à 2km de sommet. Difficle de gérer cette partie à mon avis car si la pente est sévère, on ne s'en rend absolument pas compte à l'oeil. A noter qu'à la sortie de Plan Lachat, on apercoit le sommet de très loin.
La portion finale de l'ascension début au niveau du Tunnel. La pente flirte à nouveau avec les 10% et plus. Par ailleurs le vent vient sérieusement se mêler de l'affaire. Au sommet les paysages sont réellement magnifiques, on n'y domine certes pas le monde mais il faut bien avouer que la sensation d'être monté à vélo jusqu'ici est réellement sympathique !
La pente s'accroit s'accroit alors au fil des kilomètres jusqu'aux 7/8% peu avant Plan Lachat. A cet endroit la pente redescend brusquement quelques hectomètres, c'est le dernier moment de réel répit avant le sommet qui se trouve encore à près de 10km. Ces quelques mètres offrent également une superbe perspective sur la pente qui s'annonce et voir le serpent des minuscules cyclistes dans la montagne et vraiment magnifique.
Le secteur de plan Lachat oscille donc entre 8 et 10% et alors que nous avions eu droit jusqu'à présent qu'à de longues lignes droites, les lacets s'enchainent (difficilement) à présent.
S'en suit alors de nouveau un parcours assez linéaire dans la montagne jusqu'à 2km de sommet. Difficle de gérer cette partie à mon avis car si la pente est sévère, on ne s'en rend absolument pas compte à l'oeil. A noter qu'à la sortie de Plan Lachat, on apercoit le sommet de très loin.
La portion finale de l'ascension début au niveau du Tunnel. La pente flirte à nouveau avec les 10% et plus. Par ailleurs le vent vient sérieusement se mêler de l'affaire. Au sommet les paysages sont réellement magnifiques, on n'y domine certes pas le monde mais il faut bien avouer que la sensation d'être monté à vélo jusqu'ici est réellement sympathique !